L'industrie de la musique enregistrée française mesure son impact carbone
De moins de 3 millions de tonnes d'équivalent CO2 en 2022, les émissions de gaz à effet de serre de l'industrie musicale française pourraient tripler d'ici à 2030 si rien n'est fait pour les contenir.
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Les émissions de gaz à effet de serre du secteur de la musique enregistrée en France se sont élevées à environ 2780 kilotonnes d’équivalent CO2 en 2022 (2,78 millions de tonnes), selon un rapport rendu public par le Centre national de la musique (CNM) sous le titre "Réduisons notre empreinte carbone !" (REC)1, auquel ont contribué l’agence de conseil en responsabilité sociétale des entreprises Ekodev et le cabinet d’études sur les enjeux énergétiques et climatiques Carbone 4. C’est l'équivalent de plus d'un million d'allers-retours Paris-New York en avion, indiquent les auteurs.
Porté collectivement par les organisations syndicales représentatives des producteurs et distributeurs phonographiques2, dans le cadre de l’appel à projets “Alternatives vertes” lancé en 2021 par le ministère de la Culture et le Secrétariat général pour l’investissement, le projet REC s’est attaché à mesurer les émissions de gaz à effet de serre des productions fra…
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