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User-centric, quand Deezer ne travaillait pas encore son oseille musicale

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Philippe Astor
sept. 13, 2019
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User-centric, quand Deezer ne travaillait pas encore son oseille musicale
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Je n'avais personnellement rien à gagner à ce que l'on prête la moindre attention à plusieurs de mes articles publiés sur la question du mode de répartition des revenus du streaming il y a déjà quatre ou cinq ans - les biais du pro-rata, son manque à gagner pour la production locale, pour les artistes émergents, et pour certaines niches musicales. Deezer ne travaillait pas encore son oseille musicale. Tout le monde s'en fichait alors comme d'une guigne, sauf peut-être dans les pays scandinaves, où le streaming pesait déjà 60 % à 70 % du marché.

J'écrivais alors :

"Trop rares sont les études sérieuses effectuées sur le sujet. Celle du groupe de recherche Cloud & Concert de l'Université d'Oslo, parue en 2014, établit que le modèle user-centric augmente de 13 % la part de marché des artistes locaux figurant parmi les 5000 artistes les plus écoutés en août 2013 sur la plateforme scandinave WiMP. Il n'évalue pas, cependant, le manque à gagner que le modèle de répartition au pro-rata induit p…

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