Spectacle vivant : survivre, investir, rebondir
Confronté à un effondrement global de son économie, le spectacle vivant doit relever trois défis majeurs : survivre, investir dans sa transition numérique et écologique, et rebondir.
Comment se projeter dans un monde contraint par la crise sanitaire jusqu’en 2022 voire 2023 ? C’est la question qui empêche de dormir tous les professionnels du spectacle vivant, des artistes aux techniciens, en passant par les salles, promoteurs, tourneurs, festivals et diffuseurs. Depuis le début du printemps 2020, le secteur est totalement à l’arrêt ou presque. “J’ai fait un concert depuis le mois de mars”, confie Matthieu Drouot, directeur général de Drouot Productions (600 concerts par an avant la crise), à la chaîne Loud.tv, un webzine vidéo consacré au métal. “Ma tête est déjà en 2021, parce qu’il n’y aura pas de shows cette année, il n’y en aura peut-être même pas en 2021. Je ne sais pas comment envisager la saison !”, poursuit-il.
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