Le label indé italien Rude Records brigue une IPO à l'horizon 2025
Rude Records a lancé une deuxième levée de fonds en capital sur la plateforme de financement participatif britannique Seedrs pour investir massivement dans les nouvelles signatures et les catalogues.
Dès l’origine, Rude Records s’est concentré exclusivement sur la signature d’artistes internationaux, comme le groupe canadien Sum 41, l'autrice-compositrice indie rock américaine Sydney Sprague, ou le porte-drapeau du nu metal britannique Blood Youth (photo ci-dessus).
Une introduction en bourse à l’horizon 2025 (ou IPO, pour Initial Public Offering), à Londres, New York ou Amsterdam, c’est ce que brigue ouvertement le label indépendant italien Rude Records, qui a lancé une deuxième levée de fonds en capital sur la plateforme de financement participatif britannique Seedrs il y a un mois, avec pour objectif de lever un million d’euros d’ici début avril.
Basé à Milan et fondé il y a un peu plus de vingt ans par Ilich Rausa, que le magazine américain Billboard a intégré à sa Power Players List des personnalités internationales de l’industrie musicale les plus en vue du moment, le label Rude Records, bien qu’italien, s’est concentré exclusivement dès l’origine sur la signature d’artistes internationaux, comme le groupe canadien Sum 41, l'autrice-compositrice indie rock américaine Sydney Sprague, ou le porte-drapeau du nu metal britannique Blood Youth.
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